« Jeûne 1 jour, Jeûne toujours... »


Pourquoi cette formule ?

 

Car le jour où l’on expérimente le jeûne, on voit qu'il y a quelque chose de surprenant dans cette pratique.

 

Naturellement ancestrale dans le monde animal duquel nous venons, elle a été un peu oubliée et revient en force depuis quelques années.

Depuis la nuit des temps, l’homme a toujours jeûné, sans pour autant avoir conscience qu’il le faisait.

La raréfaction de la nourriture était un principe de vie calqué sur l’équilibre des rythmes de la nature.

 

Le Jeûne, un moyen simple et efficace de ressentir une nouvelle énergie, méconnue et tant recherchée... Un moyen aussi de prendre le temps de se reconnecter à soi et à sa nature.

 

C'est pourtant si simple de faire simplement, mais cela semble paraître tellement compliqué pour la plupart d'entre nous.

 

Aujourd’hui, dans notre société, nous paraissons tous manquer de temps. En optant pour un jeûne, le fait de ne « rien faire » et rien manger nous entraine dans un vide à combler dont nous n’avons pas forcément l’habitude, étant ultra-occupés par nos tâches journalières et nos responsabilités.

C'est dans ce « vide » que j’aimerais vous emmener.

Un peu comme quand on dit qu’on va faire un saut dans le vide.

 

Un petit temps d'arrêt sur soi-même qui peut apporter tant et tant...

Vous allez me dire qu’en cette période, le jeûne s’est transformé en un phénomène de mode !

Et vous n’aurez pas tort.

Cela dit... si cet effet de « mode » comme beaucoup le disent, peut en amener à se retrouver et creuser leur être le plus profond par le jeûne, alors c’est une bonne chose.

 

Peut-être que le questionnement sur notre rythme de vie, l’approche que nous avons envers la nourriture ou la malbouffe ou dirais-je plutôt, la peur de manquer nous force à revenir vers ce rythme universel qu’est la vie ?

Nous nous sommes tant éloignés de la nature, nous enfermant dans des boîtes et suivant des schémas tout tracés... Cette condition nous enferme dans un mode de vie stressant. Nous nous surchargeons de choses à faire, à accomplir avec de moins en moins de temps à disposition, ce qui cause un stress chronique, qui au long terme se traduira par une fatigue, une lourdeur chronique... 

 

Je l'ai appelée la "Tempite chronique". (L’inflammation du temps)

Et si l'on mettait ce peu de temps, rien que 36 heures de notre semaine, à ne RIEN FAIRE ? 

 

Se débarrasser de tout ce stress pour plonger dans ce vide et s’accorder ce temps libre pour se faire du bien et réfléchir à notre statut de vivant.

Nous avons de la nourriture à profusion, nous ne manquons de rien. Et pourtant, les maladies guettent et sont fréquentes dans notre monde moderne.

 

Nos ancêtres paraissaient plus sains, même s’ils venaient moins vieux de manière générale.  

Est-ce que leur stress (se soucier des choses basiques plus que futiles) était plus sain que le nôtre aujourd’hui ?

 

Et si un jour, nous étions amenés à ne plus avoir de nourriture (famine), comment réagirions-nous ?

Comment réagirait notre corps ? Notre mental ?

 

La privation et le choix d’abstinence sont deux énergies totalement différentes à ne pas confondre.

 

Quand nous faisons un choix, il est accompagné d’une conviction, quand nous en sommes privés, il est accompagné de frustrations qui s’entremêlent pouvant donner lieu à de la colère, des tensions et des peurs.

 

La privation par un choix de faire une grève de la faim est un choix qui est dirigé dans une attente d'une réaction d'institutions ou d'entités, la privation étant que certains peuples encore aujourd'hui sont privés de nourriture (mal nutrition et/ou dénutri) et ceci est accompagné de peur, de colère, de faiblesse de l'organisme...

 

Un mélange d'énergie difficile à vivre et à se laisser penser que notre corps peut vivre sans manger ou sans trop manger. 

Oui mais...

 

Le fait de s'arrêter de manger, donc faire un jeûne tout en sachant que notre corps a bien été nourri, c'est une chose, mais de faire un jeûne avec un organisme dénutri ou mal nourri n'est absolument pas bénéfique, voire déconseillé...

Et je pèse mes mots, car tout est dans la loi du principe vital.

 

La vitalité de la personne. Son état physiologique, d'où elle vient ? Ou elle vit ? 

On ne peut pas conseiller une personne dénutrie par le manque de bons nutriments, de jeûner et tu vas te soigner... C'est incohérent...

 

Comme dans notre mode occidental, une personne peut aussi être fortement dénutrie, car mal nourrie (malbouffe, STRESS, fortes consommation de produits toxiques) les fléaux que j'appelle, "les portiers de la maladie" oui parce que cette haute toxémie d'aliments ingérés dépend beaucoup de notre état intérieur et laisse la porte ouverte à une grande possibilité de "DEVENIR MALADE" et NON de "TOMBER MALADE"...

On devient malade par causes de tous ces facteurs toxiques et non par une malchance de tomber malade ! 

 

Le plus grand des fléau c'est cet état de stress chronique. Aucun animal dans la nature reste dans un état de stress aussi haut et constant. 

 

Très sincèrement... Dites moi l'inverse... 

La nourriture est souvent un couvercle émotionnel, pour d'autres cela sera couvert par le fait de fumer, de l'alcool, y'en a qui vont peut-être avoir envie de dormir afin d'éteindre ces forts sentiments de désespoir.

Nous sommes constamment couverts de responsabilités à DEVOIR gérer. 

L'heure du lever, l'heure d'être à l'heure, pour le travail, amener les enfants à l'école, faire les courses, faire à manger, pas oublier de prendre les compléments alimentaires, penser à la journée de demain, préparer l'heure du coucher pour que demain nous puissions repartir dans toutes ces choses à penser. 

Arrive la fin d'un mois et nous devons penser à payer nos factures et combien de personnes n'arrivent pas à joindre les deux bouts ? Ce qui enclenche automatiquement un désespoir, une perte de motivation, de la dépression à ce demander à quoi bon courir dans tous les sens (donc quand on entend courir on entend stress) à faire, faire, faire et encore faire pour arriver au résultat de se dire...

Je suis souvent, voir toujours fatigué, je comprends pas. 

 

Et dès qu'arrive le moment ou nous trouvons un instant pour se reposer physiquement, nous nous écroulons. Nous nous écroulons vraiment ? Le corps oui, mais le mental ?

S'est-il écroulé? 

Non il repart dans sa spirale en boucle des pensées, des choses à faire. 

Le corps ne suit plus et l'envie n'y est pas. Trop épuisé pour se reprendre. 

 

Donc, mon approche de cette pratique ancestrale, est de cultiver la connaissance de soi... 

Une personne ayant reçu un lourd diagnostic, a-t-elle une bonne vitalité ? 

S'en suit bien évidemment une cascade de haut niveau de stress par dessus le haut niveau de stress déjà présent par tous ce que j'ai énuméré plus haut. 

A-t-elle une réserve de nutriments, de minéraux, afin de faire face à toute cette situation ? Amorcer un nettoyage ? Un jeûne ? Une détox ? 

Par quoi commencer ? Et comment commencer ? 

 

J'ai appris dans mes années de pratiques, que rien n'est plus faux et grave que penser que de sauter sur le jeûne pour se soigner est la pratique la mieux et la plus conseillée pour se soigner. 

 

Nous avons besoin en premier instant de pouvoir reposer l'organisme.

Alors oui le jeûne permet au corps de lui éviter des surcharges de nourriture à devoir digérer et donc une économie d'énergie qui va être redonné à autres parts.

Une énergie redirigée à penser plus ? A peut-être provoquer encore plus de stress? 

Car jeûner s'est s'abandonné à soi. L'aide de la prière, de la méditation sont les outils les plus bénéfiques afin de calmer son esprit. 

N'entendez pas dans le mots prière un raccords à quelconque religion mais la prière permets de se raccorder à soi. Prier et parler avec son corps, parler avec ces cellules est une forme de prière ou les mots et le textes sortent du profond de votre cœur. Nul besoin de répéter un texte ou de DEVOIR apprendre une prière religieuse. 

Vous êtes libre de prier selon vos mots, selon votre ressenti. 

 

Si la personne est affaiblie, en manque de sommeil réparateur ou vis des troubles du sommeil et que pendant les phases diurne elle vis constamment dans un état de stress intense, comment l'organisme fais face à tous cela? 

 

Encore faut-il voir si la personne contient assez de réserves (réserves minérales et/ou nutritionnelles) pour laisser la place au corps pour se nettoyer, car le nettoyage durant un jeûne peut être assez lourds et violent si en plus les émonctoires (intestins, foie, reins, poumons) de cette même personne sont déjà lourdement engorgés et intoxiqué et si les batteries (réserves minérales et nutriments) sont bien présentes pour amorcer un long jeûne sec ou même hydrique.

 

On se rends pas forcément compte, car nous n'avons pas forcément les connaissances du fonctionnement du corps et de toutes ces hormones, l'impact que cela à sur l'organisme.

 

Pour vous en dire deux mots, conscientisez bien l'état suivant : 

Les hormones du stress tels que l'adrénaline, le cortisol, la noradrénaline, sont des substances appelées hormones qui sont libérée dans le corps afin de faire face à un danger.

Soit de fuir, soit de combattre ou il se peut aussi que l'on reste tétanisé. 

 

Imaginer l'énergie qu'il faut généralement pour devoir fuir ou se battre ? 

Une grosse quantité d'énergie qui sera amenés pas ces hormones. 

Simplement que dans la plupart des cas, cette energie qui est très bénéfiques pour devoir faire face à une telle situation n'est pas libérée et donc elle est stockée dans votre esprit. 

Le corps s'épuise constamment. 

 

Un petit exemple tous bête, imaginez un instant qu'au moment ou vous ressentez cet état de stress, vous avez les palpitations qui augmente, vous vous sentez tendu car vous faites faces à une situation stressante.

Prenez et allez courir très vite sur un bon dénivelé en montant une petite colline.

Ou alors imaginez-vous allez dans les toilettes si vous êtes au travail et commencer à faire le plus de pompes possible. 

10-15-20-30-40 pompes. 

Vous allez utiliser cette énergie qui sera évacuée bien mieux que de rester avec le mental qui  tourne à cent à l'heure, vos palpitations qui peinent à ralentir, qui provoque un épuisement qui à la longue devient très délétère. 

 

De cette façon, votre énergie est libérée... Vous avez fais bon usage de ces hormones. 

Mais c'est loin d'être le cas. 

 

Pour ma part, je déconseille de sauter les pieds joints dans une telle approche sans avoir effectué une bonne revitalisation, re nourrir et reposer l'organisme ,tout en l'accompagnant de jeûne court afin de l'accompagner gentiment dans une détox plus profonde.

 

Partir tête baissée dans un long jeûne sec ou même hydrique tout en étant affaibli, dénutri et contre-productif et pas du tout salutaire.

Ceci est le point d'accroche de l'hygiénisme, de ma pratique. 

 

Voilà ici le principe fondamental qui m’amène à vous accompagner dans une journée de jeûne et comme je le dis depuis toujours...

 

Jeûne un jour, jeûne toujours !

 

La raison qui m’a dirigé vers la création de cet espace de partage sur 36 heures de jeûne sec, voir plus, est la suivante...

 

Comment vous sentirez-vous dans 1 mois en pratiquant 36 heures de jeûne sec par semaine tout en vous nourrissant d'alimentation physio-LOGIQUE durant les phases d'alimentation ?  

 

Avez-vous déjà fais l'expérience ?

Non ?

 

 

Alors, venez éclore à la vie en plongeon dans votre métamorphose et se vide avec moi.

 

C'est vous le meilleur médecin, c'est vous le soignant, et c'est vous qui prenez la responsabilité de votre remède.

 

Votre guérison, vous attend...

 

 


Un peu d'histoire...


Études sur 29 jours de JS  à hauteur de 14 heures par jour...

Voyez par vous même.

Les études scientifiques médicale le prouve.

Donc imaginez bien que 36 heures de JS par semaine, suivi d'un bon équilibre nutritionnel et de phase d'heures de JS journaliers et bien croyez moi que si pathologie il y a...

Et bien pathologie peut être soignée. 

14 sujets atteints du syndrome métabolique, âgés en moyenne de 59 ans, ont jeûné de l'aube au crépuscule (jeûne sec strict sans apport de liquide ni de nourriture) pendant plus de 14 heures par jour pendant 29 jours.

Cela revient presque au jeûne intermittent 16:8 sachant que pendant 14 ou alors 16 heures vous êtes en jeûne sec.